Depuis la naissance de notre fils, nous n'hésitons pas à faire du peau à peau, autant maman que papa ! On oublie souvent le rôle des pères dans le peau à peau comme s'il n'y avait que la mère qui pouvait le faire !!! Or je le dis haut et fort :
BÉBÉ AIME LE PEAU À PEAU AVEC PAPA AUSSI !!Dès sa naissance, j'ai eu notre fils tout contre ma poitrine durant 2h. Magnifique ! Tout chaud sorti de moi, et déjà contre moi. Cette chaleur qui émane de nos corps, j'adore ce contact, le peau à peau m'apaise autant que lui (grâce à l'hormone Ocytocine).
Puis de retour à la maison, nous le prenons souvent contre nous. Dans le lit après une tétée c'est souvent avec papa qu'on l'aide à s'endormir , quand il a des coliques ou juste quand il a besoin d'un câlin.
Même la médecine "moderne " reconnait (enfin!) les biens faits du peau à peau. Cela aide bébé à grossir (c'est le cas de la méthode Kangourou pour les grands prématurés) et à réguler sa température, l'échange hormonale aide également à la montée de lait, à l'apaisement de bébé et du parent, aidant ainsi à l'endormissement des deux, réduit considérablement le stress ce qui fait que bébé se développe de manière plus sécure (grâce à ce contact il entend le coeur de papa ou maman...), la respiration de bébé se fait plus régulière et calme. Le peau à peau renforce le lien parent/bébé, tout simplement car chacun apprend à se découvrir, à se sentir à se connaitre.
Bref j'ai également remarqué que ce contact étroit, tout contre nos corps, apaise et rassure notre fils, ces mêmes effets sont visibles quand je le porte en écharpe.
Bercé par les battements de mon coeur et le mouvement de ma marche, cette manière de porter notre fils me semble idéale. Facile à faire (les noeuds ne sont pas compliqués), très légère et facile à ranger (cela change de la nacelle qui est très lourde !), j'ai ainsi les mains libres et surtout l'écharpe épouse la physiologie du corps de notre bébé. Sa colonne vertébrale, ses muscles et en général son squelette, ne sont pas mobilisés de manière inadapté ou précoce. Et puis notre bébé aime être dans la position "grenouille" tout contre nous (noeud croisé double).
Voici donc les débuts de notre vie à trois. Le peau à peau, le contact corporel y tiennent une grande part. Au grand plaisir de chacun de nous.
Puis de retour à la maison, nous le prenons souvent contre nous. Dans le lit après une tétée c'est souvent avec papa qu'on l'aide à s'endormir , quand il a des coliques ou juste quand il a besoin d'un câlin.
"Cela va rendre notre fils capricieux", me direz-vous.
NON !!! Arrêtons avec ces préjugés !Même la médecine "moderne " reconnait (enfin!) les biens faits du peau à peau. Cela aide bébé à grossir (c'est le cas de la méthode Kangourou pour les grands prématurés) et à réguler sa température, l'échange hormonale aide également à la montée de lait, à l'apaisement de bébé et du parent, aidant ainsi à l'endormissement des deux, réduit considérablement le stress ce qui fait que bébé se développe de manière plus sécure (grâce à ce contact il entend le coeur de papa ou maman...), la respiration de bébé se fait plus régulière et calme. Le peau à peau renforce le lien parent/bébé, tout simplement car chacun apprend à se découvrir, à se sentir à se connaitre.
Bref j'ai également remarqué que ce contact étroit, tout contre nos corps, apaise et rassure notre fils, ces mêmes effets sont visibles quand je le porte en écharpe.
Bercé par les battements de mon coeur et le mouvement de ma marche, cette manière de porter notre fils me semble idéale. Facile à faire (les noeuds ne sont pas compliqués), très légère et facile à ranger (cela change de la nacelle qui est très lourde !), j'ai ainsi les mains libres et surtout l'écharpe épouse la physiologie du corps de notre bébé. Sa colonne vertébrale, ses muscles et en général son squelette, ne sont pas mobilisés de manière inadapté ou précoce. Et puis notre bébé aime être dans la position "grenouille" tout contre nous (noeud croisé double).
Voici donc les débuts de notre vie à trois. Le peau à peau, le contact corporel y tiennent une grande part. Au grand plaisir de chacun de nous.
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