J'ai fait le choix de ne pas travailler les mercredis pour le bien être de mes 2 cœurs. Ce qui veut dire que le reste de la semaine, je fais des heures de folie mais je le veux pour eux.
Les mardis soirs, je rentre fatiguée de ma longue journée à minuit chez moi, je vais les embrasser dans leurs rêves et j'attends le lendemain, où je vais rester à la maison avec mes loulous pour profiter d'eux . ( et me reposer un peu ? )
Mais quand ils sont trop fatigués, que l'un ne veut pas prêter, que l'autre hurle pour stopper le jeu, que l'envie est trop présente qu'elle ne peut attendre.... Comment garder en tête qu'on voulait : ces mercredis.... et rester ZEN.
Alors je pense à mes amies "mamans au foyer", aux autres qui travaillent et n'ont pas la chance de criser à la maison avec leurs têtes blondes (comme moi aujourd'hui) et celles qui comme moi ont voulu de ces mercredis...
Et jeudi arrive si vite avec une journée qui commencera à 6h20 et se finira encore par un baiser à mes enfants dans leurs rêves à minuit. Ce sont ces journées où je ne peux assister à leur lever, ni être là pour la lecture du soir que je me dis que j'ai bien fait de leur consacrer mes mercredis et où je culpabilise ( comme tous les parents ? ). Non pas d'être une mère qui travaille (quoi que des jours c'est difficile de conseiller ces 2 mondes !) nous sommes tant de femmes dans ce cas là.
Non mais la culpabilité qui nait après une longue et dure journée où on a l'impression d'avoir jouer au policier, d'être plus une femme de ménage qu'une amie de jeux et surtout de ne plus trouver en nous de patience nécessaire pour ne pas crier contre eux, de ne pas les gronder...
Je sais que certains parents ne s’offusquent pas de cela, et ne culpabiliseraient jamais après une fessée ("ça n'a jamais tué personne" j'entends encore cette réplique stupide dans mes oreilles) ou après une dure journée, telle que ce mercredi.
Mais moi je ne peux m'empêcher que penser à leur réservoir affectif, qu'il faut remplir pour qu'ils puissent s'épanouir et grandir avec une bonne estime d'eux. Je ne peux m'empêcher de penser à l'enfant que j'étais, à ce besoin de toujours de câlins.... Et le soir, après des journées aussi fatigantes, car moi aussi mon réservoir affectif était vide et n'a pu se remplir fasse à mes loulous fatigués, ronchons, je culpabilise de n'avoir pas pu leur donner un de ces mercredis ensoleillés où tout est léger, d'une maman souriante et entièrement là pour eux.
L'enfance passe si vite ... Je ne veux aucun regrets.
Les mardis soirs, je rentre fatiguée de ma longue journée à minuit chez moi, je vais les embrasser dans leurs rêves et j'attends le lendemain, où je vais rester à la maison avec mes loulous pour profiter d'eux . ( et me reposer un peu ? )
Mais quand ils sont trop fatigués, que l'un ne veut pas prêter, que l'autre hurle pour stopper le jeu, que l'envie est trop présente qu'elle ne peut attendre.... Comment garder en tête qu'on voulait : ces mercredis.... et rester ZEN.
Ils sont tellement adorables les BONS jours, pourquoi le mercredi ne pourrait-il pas en être un ?
Alors je pense à mes amies "mamans au foyer", aux autres qui travaillent et n'ont pas la chance de criser à la maison avec leurs têtes blondes (comme moi aujourd'hui) et celles qui comme moi ont voulu de ces mercredis...
Et jeudi arrive si vite avec une journée qui commencera à 6h20 et se finira encore par un baiser à mes enfants dans leurs rêves à minuit. Ce sont ces journées où je ne peux assister à leur lever, ni être là pour la lecture du soir que je me dis que j'ai bien fait de leur consacrer mes mercredis et où je culpabilise ( comme tous les parents ? ). Non pas d'être une mère qui travaille (quoi que des jours c'est difficile de conseiller ces 2 mondes !) nous sommes tant de femmes dans ce cas là.
Non mais la culpabilité qui nait après une longue et dure journée où on a l'impression d'avoir jouer au policier, d'être plus une femme de ménage qu'une amie de jeux et surtout de ne plus trouver en nous de patience nécessaire pour ne pas crier contre eux, de ne pas les gronder...
Je sais que certains parents ne s’offusquent pas de cela, et ne culpabiliseraient jamais après une fessée ("ça n'a jamais tué personne" j'entends encore cette réplique stupide dans mes oreilles) ou après une dure journée, telle que ce mercredi.
Mais moi je ne peux m'empêcher que penser à leur réservoir affectif, qu'il faut remplir pour qu'ils puissent s'épanouir et grandir avec une bonne estime d'eux. Je ne peux m'empêcher de penser à l'enfant que j'étais, à ce besoin de toujours de câlins.... Et le soir, après des journées aussi fatigantes, car moi aussi mon réservoir affectif était vide et n'a pu se remplir fasse à mes loulous fatigués, ronchons, je culpabilise de n'avoir pas pu leur donner un de ces mercredis ensoleillés où tout est léger, d'une maman souriante et entièrement là pour eux.
Et vous les mamans d'ici et d'ailleurs, de la maison ou du boulot, comment survivez-vous à ces mercredis plus pluvieux qu’ensoleillés ?
Calogéro : Tu n'as qu'à m'attraper.
Une belle chanson inspirée par 2 amours, elle m'accompagne souvent dans mes trajets pour le boulot. Au final, ça fatigue de tels mercredis mais l'essentiel est surtout d'avoir été là pour eux....
halalalalaaaaaaaa c'est pas simple!!!! je suis dans le meme cas et cas inverse, je bosse de la maison avec me petite tete rousse ;)
RépondreSupprimerqui est garde a mi temps... quand on monte sa boite c est chaud....
on veut en profiter mais on doit se concentrer.. bref les joies d être maman :)
merci pour ton message!! :)
RépondreSupprimerC'est du vécu ... Moi aussi je ne travaillais pas le mercredi et parfois j'arrivais le jeudi au boulot crevée nerveusement de ma journée de la veille...
RépondreSupprimerComme toi je pense toujours au réservoir affectif des enfants et j'essaie de rester calme... mais quand j'en peux plus, je lui dit que maman n'a plus de patience et qu'il y a des limites à ne pas dépasser. Bref tout n'est pas rose, c'est la vie et les enfants doivent aussi se heurter à un panel d'émotion... les livres d'isabelle filiozat m'aident beaucoup
Douce soirée!
Ces nouveaux rythmes de vie scolaire, ces absences de sieste que l'on impose à ces jeunes écoliers, comment peuvent-ils le mercredi se sentir bien dans leur peau ? inutile de culpabilisé, il faut de la patience, de la créativité, organiser des jeux calmes, des jeux assis, des jeux de découverte, et surtout quand la mayonnaise monte, prendre tout ce petit monde et allez promener, même si il pleut.... Courage, un jour peut-être il y aura l'école pour les Mamans...
RépondreSupprimerIci l'école propose la sieste, mais quelqu'un lui a dit cet été qu'il ne ferait plus de sieste maintenant à l'école et ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Il faut surtout que le rythme se mette en place pour permettre à tout le monde de trouver ses repères.
RépondreSupprimerEt bien quel article , çà fait du bien de te lire ...je me pose également toutes ces questions avec nos deux loulous (5 et 3 ans ) une fille et un gars ...
RépondreSupprimerEt nous vivons aussi des moments comme ceux-là , ou la patience s'effrite , la tension monte , ou la discussion est difficile ...
PAs simple effectivement de garder de la distance et ne pas prendre les choses trop à coeur ..
Ils ont leurs humeurs aussi , comme nous finalement !
Je vis de grands moments entre culpabilité et doutes , remise en question , fatigue , a ne plus avoir de solutions ...mise à part la bonne ballade dont parle mamyladébrouille !! c'est que çà ressentre !
le tout , et pas le plus simple , est de ne pas rester sur une tension , une colère , et de savoir s'en extirper , pour mieux passer à autre chose , çà a l'air simple comme çà , mais je fais un gros travail dans ce sens !!!
je te souhaite de belles journées , et de jolies retrouvailles automnales avec tes amours !!
Albane